Constable der Privatsphäre von Hamburg, Deutschland, sagte in einer längeren Erklärung, dass die Gesichtserkennung von Facebook eingestellt sind im Gegensatz zu deutschem Recht verfügt. Für Johannes Caspar, Leiter der Agentur für den Schutz der Privatsphäre, hat Facebook nicht das Recht, biometrische Daten auf seinen Nutzern ohne Einholung ihrer Einwilligung zu sammeln.
Le plus grand réseau social au monde avait déployé cette fonction début juin, après une période de test ; elle reconnaît automatiquement les visages des membres du réseau social, et associe automatiquement les images au profil des personnes concernées. Les utilisateurs peuvent toutefois choisir de désactiver cette fonction s'ils le souhaitent.
Facebook, qui dispose de deux semaines pour répondre aux questions de l'agence allemande, juge que cette fonction est compatible avec les législations européennes, et rappelle qu'elle peut être bloquée. Mais pour le land de Hambourg, c'est surtout le fait que Facebook stocke des données biométriques sans consentement préalable qui pose problème. Bien qu'étant une autorité locale, le gendarme de la vie privée hambourgeois dispose de compétences étendues, et peut infliger des amendes de plusieurs centaines de milliers d'euros.
Le land de Hambourg et Facebook s'étaient déjà affrontés, en janvier, autour de la manière dont l'entreprise utilise les carnets d'adresse email de ses nouveaux utilisateurs. Le réseau social avait finalement accepté de restreindre cette fonction.